Le despote déchu, en débardeur déchiré, la dégaine du
désespoir, déambulait au détour d’un dépôt. Lui, défini comme mi démon, mi démiurge,
était détrôné, détruit, démystifié par un débutant débile, qui l’avait débouté
comme un détritus aux dés. Il était dégouté et bien déterminé à défier son
dérouteur. Après le déjeuner, il déclara défier le débile. Il s’en débarrassa,
déterminé à détenir son destin de débauché.
Oscar Elie
Sous un déluge démentiel, le débile déclama sa déclaration à
la décoratrice décomposée. Le démon, au désespoir, dévissa et déboulonna la
déesse et le démiurge de leur destinée désormais désuète, les déposant à la
décharge avec dédain. La décoratrice, décolorée et défaite, décrocha son
déjeuner et décampa vers la déviation. Sans se démonter, le détraqué la
débusqua au détour de la descente vers le dépôt des débardeurs. Au désarroi et
désespérée, la décoratrice décida de se déchaîner, de défier et dézinguer le
despote. A la dérobade, elle le désarma en le désarçonnant. Dessoulé et dégrisé, le déséquilibré déguerpit
définitivement vers le dépotoir, déboula, le débardeur tout déchiré sur le dériveur
désert. Il se déshabilla et dériva, désœuvré et dérouté, vers son destin de
décadence.
Guiseppa
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